Le reamping d’ampli fait partie des techniques les plus utilisées lors de l’enregistrement de guitare électrique.
Que vous soyez un(e) guitariste s’enregistrant en contexte home studio ou un ingé son en studio, le reamping est en effet un outil important permettant de gagner du temps, de limiter les erreurs mais aussi d’avoir une approche plus créative de l’enregistrement d’amplis.
Encore faut-il, ceci dit, bien comprendre ce dont il s’agit et bien s’avoir l’appliquer.
Je vous propose donc aujourd’hui un guide complet vous donnant toutes les informations nécessaires sur le sujet.
Voici le plan de l’article :
- Le concept du reamping d’ampli guitare
- Comment faire du reamping ?
- Quel boîtier de reamping faut-il acheter ?
- La FAQ du Reamping
Le concept du reamping d’ampli guitare
Il y a l’avant reamping et l’après reamping.
L’avant reamping…
L’avant reamping, c’est le temps où, lorsque vous étiez guitariste et que vous souhaitiez faire une prise de son en studio, vous deviez jouer en boucle en attendant que l’ingé son trouve le meilleur microphone et la meilleure position pour le micro devant votre ampli.
Certes, c’était un processus plutôt chronophage.
Mais le pire, c’est que si jamais la prise de son n’était pas parfaite, les possibilités de corriger le tir étaient limitées : certes il y avait les EQ et tout le matériel qui va avec, mais impossible de corriger la prise à la source puisqu’elle était déjà enregistrée.
Impossible (et c’est logique) de faire varier la position du microphone, le micro par lui-même ou encore le type d’ampli utilisé.
Il valait donc mieux ne pas se tromper pour l’enregistrement… 🙂
Mais c’est là qu’arrive la technique du reamping, qui s’est particulièrement démocratisée depuis les années 2000 même si elle prend ses sources dans des expérimentations bien plus anciennes des années 30 (avec par exemple la musique concrète).
… et l’après reamping
Alors le reamping, c’est quoi ?
Pour moi, c’est avant tout un concept d’enregistrement complètement différent de celui que je viens d’exposer au paragraphe précédent.
Le reamping consiste en effet à enregistrer sur son PC le signal brut de la guitare (avant qu’il rentre dans l’ampli) puis à le réutiliser quand on le souhaite pour refaire la prise de son.
Autrement dit, vous pouvez envoyer à nouveau le signal enregistré de votre guitare dans un ampli, quel qu’il soit, que vous repiquerez avec un microphone.
Il y a bien sûr de nombreux avantages à faire de cette façon vos prises de son de guitare électrique.
Tout d’abord, c’est une sécurité : si votre enregistrement de l’ampli n’est pas parfait, vous pouvez le refaire à tout moment — même dans un mois si vous le voulez — sans avoir à réenregistrer la performance.
Et puis, c’est surtout l’occasion de vous concentrer sur la qualité de la performance du guitariste (peut-être vous même) plutôt que sur le son. Après-coup, une fois l’enregistrement effectué, vous pouvez ainsi prendre le temps de peaufiner ou expérimenter avec :
- le choix du ou des microphones ;
- la position du ou des microphones ;
- les réglages de l’ampli guitare ;
- le modèle de l’ampli ;
- les pédales d’effet placées avant l’ampli ;
- etc.
Aujourd’hui, pour toute prise de son de guitare, et surtout si vous êtes guitariste et que vous vous enregistrez chez vous avec des amplis (et non pas avec des simulations d’amplis), avoir le matériel pour pouvoir faire du reamping me semble presque indispensable — et c’est dans tous les cas un investissement long terme particulièrement utile.
Comment faire du reamping ?
Au-delà du concept expliqué juste au-dessus, le reamping est une vraie technique d’enregistrement pro qui, s’il est facile à mettre en place, nécessite quelques branchements qu’il faut bien comprendre.
Plus précisément, la procédure de reamping peut être séparée en deux étapes :
- l’enregistrement du signal brut ;
- l’envoi de ce signal dans un ampli une fois l’enregistrement terminé.
Nous allons donc voir en détail comment réaliser ces deux étapes, ou plutôt, comment “réamper un ampli”.
Etape 1 : Enregistrer le signal brut de votre guitare
Avant de pouvoir envoyer quelque signal que ce soit dans un ampli pour du reamping, il faut bien sûr avoir déjà enregistré ledit signal.
Pour ce faire, la méthode usuelle, c’est l’utilisation d’une DI ou boîtier de direct, que l’on va brancher entre la guitare et un préampli micro.
Comme vous pouvez le voir sur le schéma ci-dessus, la DI a pour double effet de convertir le niveau du signal (niveau instrument -> niveau microphone) ainsi que son impédance (haute impédance -> basse impédance).
Si la notion d’impédance ne vous parle pas trop, cet article de Reverb.com devrait vous donner quelques pistes pour comprendre. Mais à la limite, comprendre ce qu’est l’impédance n’est pas essentiel pour comprendre le reamping : comprenez juste qu’il y a une conversion de ce paramètre électrique.
Bref, une simple DI permet de faire la conversion qui va bien avant d’attaquer votre préampli.
Ceci dit, bien souvent dans les home studios, on se retrouve avec des configurations un peu plus simples que celle présentée dans le schéma précédent puisqu’au lieu d’utiliser un boîtier de direct dédié, on va brancher la guitare directement sur l’entrée DI (parfois appelée entrée instrument ou Hi-Z, pour “haute impédance”) de l’interface.
Le schéma ci-dessous représente cette situation :
Sur le principe, ceci dit, rien ne change : votre signal brut est bel et bien enregistré.
► Pour plus d’infos sur cette étape, rendez-vous sur mon article dédié aux boîtiers de direct.
Réamper le signal audio
Maintenant que vous avez enregistré votre guitare, il va vous falloir renvoyer le signal audio vers l’ampli de votre choix.
Problème : les amplis attendent un signal semblable à celui d’une guitare, en termes de niveau (100 à 800 millivolts en moyenne) et d’impédance (haute impédance, donc).
Il va donc vous falloir quelque chose pour convertir le signal qui sort de votre interface, qui lui est au niveau ligne et avec une impédance faible.
C’est là qu’entre en jeu le boîtier de reamping, qui va justement servir à ça.
Pour l’utiliser, il vous suffit de le brancher entre une sortie ligne (line out) de votre interface/carte son et votre ampli, comme indiqué sur le schéma suivant :
Il ne vous reste plus qu’à placer votre ou vos microphone(s) devant l’ampli, cliquer sur “Play” sur votre DAW et lancer l’enregistrement de votre signal… réampé !
Quel boîtier de reamping faut-il acheter ?
Pour faire du reamping, nous l’avons vu, vous avez besoin de deux boîtiers :
- un boîtier de direct ;
- un boîtier de reamping.
Pour le premier, si vous êtes à la recherche d’une bonne DI, je vous conseille de lire mon article sur les boîtiers de direct qui contient toutes les informations nécessaires.
Pour ce qui est du boîtier de reamping, comme pour les DI, il existe un certain nombre d’options sur le marché, des bonnes et des mauvaises.
Et, bien que l’on puisse penser initialement le contraire, la différence de son d’un modèle à l’autre n’est pas du tout négligeable.
En voici la preuve avec cette vidéo diffusée par la marque Radial (marque qui fait plutôt référence dans le domaine) dans laquelle sont comparés les modèles qu’ils vendent :
Certes, tous ces modèles sont utilisables, mais clairement la tonalité n’est pas la même.
Du coup, si vous souhaitez faire du reamping d’ampli chez vous, dans votre home studio ou bien dans votre studio, je vous recommande en particulier deux modèles qui font très bien le job.
Palmer DACCAPO
Marque : Palmer
Alimentation : aucune (boîtier passif)
La DACCAPO de Palmer, qui est une marque allemande, est pour moi celle avec le meilleur rapport qualité/prix — notamment pour une utilisation en home studio.
Le boîtier est solide, la fabrication de bonne qualité (visiblement les ateliers sont en Europe), et comme le boîtier est complètement passif il n’y a pas besoin d’alimentation électrique.
En termes de fonctionnalités, on retrouve bien sûr un “ground lift” pour gérer les problèmes de boucles de masse, mais aussi :
- un bouton -10 dBV + 4dBu permettant d’ajuster le fonctionnement de la DACCAPO en fonction du niveau de sortie de votre interface audio ;
- et un petit potentiomètre permettant d’ajuster le niveau de sortie avec un peu plus de précision.
A titre d’information, c’est celle que j’utilise dans mon home studio.
► Comparez le prix de la DACCAPO sur : Amazon Thomann Woodbrass
Radial Engineering X-AMP
Marque : Radial Engineering
Alimentation : secteur, fournie avec (boîtier actif)
Si votre budget est un peu plus élevé, cela peut valoir le coup de regarder la X-Amp de Radial Engineering (Canada), qui est juste l’un des boîtiers de reamping les plus utilisés dans le monde.
Le niveau de sortie est plus faible que la DACCAPO mentionnée juste au-dessus, mais le circuit est différent. Ainsi, dans la X-Amp, un buffer est positionné avant le transformateur, ce qui permet de mieux contrôler certains aspects du son et de l’impédance.
Quant aux fonctionnalités intégrées, on retrouve :
- un potentiomètre de réglage du niveau de sortie ;
- mais surtout deux sorties distinctes et isolées (avec un interrupteur d’inversion de phase) permettant donc d’envoyer le signal vers deux amplis différents.
Un modèle très pro, au final.
► Comparez le prix de la X-Amp sur : Amazon Thomann Woodbrass
La FAQ du Reamping
Enfin, pour clore ce guide, voici quelques réponses aux questions les plus courantes que l’on peut entendre sur le reamping.
Bien sûr, si vous vous posez d’autres questions, n’hésitez pas à me demander en laissant un commentaire en bas de page ! 😉
Peut-on faire du reamping sans boîtier de reamp ?
Oui, mais avec des limites.
Vous pouvez en effet brancher directement une sortie line out de votre carte son sur votre ampli, mais il faudra atténuer fortement le niveau de sortie pour réussir à simuler un signal tel qu’une guitare électrique pourrait émettre.
La technique fonctionne bien, mais avec tout de même quelques inconvénients :
- Il n’y a pas d’adaptation d’impédance réalisée entre la sortie de votre carte son et l’entrée de l’ampli, ce qui impacte notamment la réponse en fréquences — et donc la qualité du son ;
- Vous risquez d’avoir (beaucoup) plus de bruit de fond, ce qui va poser problème ;
- Vous n’aurez pas accès à un “ground lift” en cas de problèmes de masse ;
- Le gain staging est (un peu) plus compliqué.
Ceci dit, si vous n’avez pas de reamp box, vous pouvez essayer, ça vous suffira peut-être, mais personnellement je ne conseille pas trop. 🙂
Peut-on utiliser une DI à l’envers pour faire du reamping ?
On voit régulièrement ce conseil sur le net : “pas besoin de boîtier de reamping, il suffit de prendre sa DI box et la mettre à l’envers”.
Si cela peut fonctionner, c’est loin d’être une situation idéale.
En effet, une DI box ou boîtier de direct permet de convertir un signal de niveau instrument haute impédance (un signal de guitare, typiquement), en un signal de niveau microphone basse impédance.
Pour ce faire, la DI va corriger l’impédance du signal tout en diminuant son niveau.
Ici, pour le reamping, on veut convertir un signal de niveau ligne en signal de niveau instrument. Ce qui veut dire abaisser le signal.
Le problème, c’est qu’une DI Box utilisée à l’envers va augmenter le niveau du signal, ce qui est l’opposé de ce que l’on veut.
Ce n’est donc clairement pas une bonne solution, même si dans certains cas on peut obtenir tout de même des résultats corrects.
Notez au passage que si inverser une DI passive peut fonctionner, ça ne sera pas le cas pour les DI actives qui utilisent des circuits plus complexes.
Peut-on aussi réamper une basse ? un synthé ?
Oui complètement.
La technique du reamping d’ampli ne se limite pas à l’enregistrement de guitares : vous pouvez très bien envoyer n’importe quel signal dans vos amplis, comme des basses, des synthés… ou n’importe quoi, en fait.
Par exemple, vous pouvez expérimenter avec une piste de voix et une pédale de réverbe…
Comment améliorer la qualité de mes enregistrements en contexte de reamping ?
Vous faites du reamping mais vous n’êtes pas tout à fait satisfait(e) ?
Voici quelques idées d’éléments sur lesquels vous pouvez jouer :
- les réglages de la guitare (les cordes sont-elles neuves ? la guitare est-elle bien réglée ?)
- la qualité du boîtier de DI lors de l’enregistrement ;
- la qualité du préampli dans lequel la DI est branchée ;
- la qualité du boîtier de reamping ;
- la qualité des câbles.
En conclusion
Voilà, vous savez désormais à peu près tout du reamping d’ampli guitare !
Pour aller plus loin, si jamais vous ne l’avez pas encore lu, je vous recommande de lire mon article sur les DI Box, qui est un sujet bien entendu très lié.
Commentaires (24)
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Bonjour Adrien,
Merci pour cet article, encore une fois très intéressant !
Je suis intéressé pour faire du re-amping. J’ai une Scarlett 18i20, un DI pro48 de Radial, mais avant d’acquérir un boitier je me pose une question (bête) : mon interface n’a que des sorties ligne en jack, et les boitiers n’ont que des inputs XLR…
Ce n’est pas gênant si je prends un câble jack/XLR entre l’interface et le boitier ?
Par avance merci !
Cordialement,
Romain
Bonjour,
Merci Romain !
Effectivement, il faut un câble jack TRS/XLR. Attention, il faut bien un TRS (3 points de contact, ce qu’on appelle parfois “jack stéréo”) et non pas un jack type guitare (qui serait “mono”, avec seulement 2 points de contact).
Adrien
Super, merci Adrien ! 🙂
Avec plaisir 🙂
Je n’avais pas connaissance de cette technique, il est bien possible que ça me serve dans le futur, merci !
🙂
Bonjour,
Votre article est plutôt bien fait. J’apprécie assez le fait qu’il est souligné qu’il est très difficile de travailler simultanément le son (la technique) et l’interprétation (la musique). Le reamping permet de dissocier les deux fonctions et d’éviter ainsi certains écueils.
Toutefois je veux juste signaler que le reamping ne nécessite pas forcément des boitiers très chers, une simple DI active faisant parfaitement l’affaire (Ultra DI Berhinger à 65€ ou une BSS). Pour cela il suffit de brancher la sortie de carte son dans le input de la DI et le output (en utilisant un inverseur si on ne dispose pas d’un câble XLR femelle / Jack) dans l’ampli (ou le pédalier puis l’ampli). L’adaptation d’impédance fonctionne dans les deux sens.
Bonjour,
Merci bien pour votre commentaire !
Effectivement, ce type d’installation avec la DI mise à l’envers peut fonctionner. Ceci dit, même sans parler d’adaptation d’impédance, ce n’est pas idéal. Je détaille le pourquoi du comment dans le paragraphe “Peut-on utiliser une DI à l’envers pour faire du reamping ?” — mais dans certains cas ça fonctionne pas trop mal, effectivement 🙂
Adrien
Hello, l’article est bien écrit et du coup je me suis lancé. J’ai du mal à trouver la bonne formule sur les niveaux d’entrée/sortie pour reproduire au mieux le signal de ma guitare dans l’ampli. J’ai une Focusrite Scarlet 1820, j’utilise l’une des entrées DI (j’ai aussi un boitier mais je n’ai pas senti de différence), j’ai l’habitude d’enregistrer ma gratte vers les -18db. Première question : le préampli de la scarlet colore le son ! Quand au niveau de sortie, comment le regler de manière à reproduire le plus fidèlement celui de la gratte ? Régler un potard de volume sur le boitier de reamp ne me semble pas très précis, sauf à comparer en alternant le branchement de la guitare, pas pratique… Bref je ne trouve pas la méthode !
Je pense que le plus simple est de faire des tests, mais une approche serait de régler l’ampli “comme d’habitude” lorsque tu branches ta guitare, et d’ajuster le niveau du boîtier de reamp / du son envoyé vers le boîtier de reamp pour faire correspondre le son.
salut Adrien,
comment utiliser mes sorties de ma carte son id 22 ? dois je prendre la sortie gauche ou droite et la brancher à la reamp sur la connectique gauche ou droite tout simplement ?
Hello,
Il faut prendre une des sorties OUT, brancher sur le boîtier de reamp puis revenir dans l’interface audio.
A voir si tu peux utiliser les send/return, il faudrait vérifier dans le manuel comment c’est câblé.
Adrien
Salut! Si j’utilise ce matos, suis-je dans le bon pour reamper une basse qui a été préalablement enregistrée en DI via ma carte son?
https://www.thomann.de/intl/radial_pro_rmp.htm
https://www.thomann.de/intl/cordial_cfm_6_mv_klinke_xlr_kabel.htm
Merci pour ton aide et tes bons conseils!
Yes 😉
salut Adrien,
j’ai acheté la palmer daccapo, pour l’instant je suis déçu , j’ai enregistré la piste brute, je peux pas mettre trop fort sinon ça larsen , et le signal est trop faible , bref c’est la m…., as tu une solution?
ludovic
Bonjour Nicolas,
Peux-tu décrire ton processus de reamping ? De mon côté aucun soucis avec ma Daccapo
Bonjour Adrien,
Merci pour ce petit article.
Je me pose encore une question : si je sors de ma carte son dans mon pedalboard avant d’aller dans l’ampli, est-ce que cela résout le problème d’impédance, et gérer le niveau avec une pédale (par ex le sélecteur de niveau de l’Empress ParaEq) ?
Il y a sans doute moyen de faire de choses, mais je pense pas que ça résolve le problème d’impédance. Après, tu peux tester, voir si ça fonctionne dans ton cas précis 🙂
Re, j’ai dû mal m’exprimer, je veux equaliseur ma voix, il n’y a pas d’equaliseur avec des entrées sorties en xlr, seulement des equaliseur guitare, avec 10 fréquences, entrées et sorties Jack, je veux brancher un micro en xlr et entrer sur une entrée micro en xlr sur un ampli electro acoustique qui a une entrée micro, est ce que les niveaux sont compatibles ? Cordialement
Bonjour et merci pour cet article.
J’ai une question qui peut paraître un peu simpliste : quand on va faire la prise de la piste de guitare d’origine, à savoir celle qui va être “réampée” donc brute, est-ce que vous l’enregistrez dans la carte à l’aide d’amplis virtuels dans le DAW ou bien est-ce que vous utilisez par exemple une A/B box pour que la 1ère interprétation soit tout de même sonorisée dans l’ampli de guitare ? Je trouve que le fait d’utiliser un ampli virtuel affecte déja l’interprétation en soit… Est-ce que ça se fait ?
Bonjour,
Je ne sais pas si tu auras la réponse à ma question mais bon j’essaie 🙂
J’ai des amplis (Marshall JCM 900, Katana Artist..), jusqu’à lors j’utilisais dans ma boucle d’effet un Boss RC-500 en tant que looper.
Je souhaiterais maintenant utiliser les nouveaux looper (app) comme loopy pro, quantiloop au lieu du RC-500 (donc sur un Ipad).
Je n’arrive pas à trouver l’information sur le type de carte son à utiliser (car toutes les infos sont sur des amplis virtuel). L’idée étant de faire du looping en live (comme avec un looper hardware) et sur un vrai ampli.
Un grand merci d’avance, si tu as la réponse.
Hello,
Pas sûr de bien comprendre le setup que tu souhaites faire, mais beaucoup de cartes son peuvent être branchées sur des iPad.
Adrien
Bonjour Adrien, j’ai succombé aux sirènes de la BOSS DM101 après avoir vu ta video et lu ton article. Je souhaite brancher sur cette pédale mon POLY D ou MINILOOG XD mais je ne sais pas si je dois les brancher avec deux câbles asymétriques en sortie des synthés et un câble symétrique à l’entrée de la DM101 ou s’il est préférable de faire une boucle avec la pédale et ma carte son et de passer ensuite directement par mon daw (Logic Pro) en branchant simplement mes synthés sur ma carte son ? Quelle serait la meilleure méthode selon toi ? Un grand merci pour tes articles et vidéos qui sont toujours très Pro et accessibles👍.
Hello,
La pédale a une entrée MONO, donc dans tous les cas la seule possibilité est d’utiliser un cable jack symétrique pour relier la sortie Mono des synthès.
Adrien